NEWSLETTER #27 GROUPE BSL SÉCURITÉ

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Meilleurs vœux 2018 !

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Encore une fois je suis heureux de vous souhaiter en mon nom et en celui de mes équipes, mes meilleurs vœux pour cette année 2018. Que cette nouvelle année soit riche de réussites professionnelles et personnelles, et remplie de santé et bonheur.

L’année 2017 aura été abondante en nouveaux challenges pour les équipes BSL, 2018 le sera au moins tout autant, comptez sur nous. Nous continuerons à vous offrir de nouvelles solutions et innovations, certaines sont ‘’on the way’’, c’est bien le minimum que nous vous devons.

Nos métiers doivent continuer de se professionnaliser tout en prenant en compte l’évolution de la société et de ses nouvelles technologies. Je le redis une nouvelle fois, la digitalisation, le changement de nos vieilles méthodes, doit être vu comme une chance pour nos entreprises. Être toujours plus efficace, performant et novateur à vos côtés, tel est l’objectif que nous nous fixons en cette nouvelle année 2018.

Pourtant, et au risque de gâcher notre enthousiasme, il me faut évoquer une évolution du marché de la sécurité inquiétante et qui ne va pas du tout dans le sens de la professionnalisation évoquée précédemment : 2017 aura vu l’émergence de sociétés, aux pratiques souvent illégales, n’hésitant pas à brader les prix des prestations de sécurité et ce de manière brutale. Ces pratiques déstabilisent notre profession au moment même où l’Etat reconnaît enfin notre valeur, et nous confie de nouvelles missions et responsabilités après les attentats qui ne cessent de se produire partout dans le monde. Si la responsabilité de ces entreprises pirates est engagée directement et nécessite une vigilance accrue du régulateur, il est temps de dénoncer l’irresponsabilité de certains acheteurs pour qui la sécurité ne représente qu’un coût.

Malgré cette inquiétude partagée par les principales organisations patronales (SNES et USP), restons confiant dans l’avenir et en notre capacité à nous organiser pour continuer de vous convaincre de l’évident besoin d’une sécurité professionnelle, solide et innovante, capable de répondre aux nouveaux enjeux d’un monde en pleine mutation.

Restant avec mes équipes, à votre écoute en toutes occasions,

Patrick Senior,
CEO Fondateur de BSL

www.groupebsl.com

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Traitement des données : le RGPD impose de nouvelles règles

Le règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD), entre en vigueur le 25 mai 2018 avec pour objectifs, de redonner aux citoyens le contrôle de leurs données personnelles et de simplifier l’environnement réglementaire des entreprises tout en les responsabilisant. Vous ne maitrisez pas toutes les conséquences de ce texte ? Voyons en quelques points les principales évolutions apportées par ce règlement. 

A qui s’applique le RGPD ?
Le RGPD s’applique à toute entité basée sur le territoire européen et traitant des données personnelles. La CNIL reste le « guichet unique » pour les entreprises pour toute question relative à l’application du règlement.

Quels sont les nouveaux droits individuels portés par ce réglement ?
Ce cadre juridique unifié pour l’UE est à l’origine de la création de nouveaux droits pour les individus :

  • le droit à la portabilité des données personnelles ;
  • le droit à l’information qui permettra à tout un chacun d’accéder à ses données, de les modifier, voir de les effacer en cas d’utilisation abusive avérée.

Qu’est-ce que ce règlement va changer dans la pratique des entreprises ?
Désormais, la protection des données à caractère personnel devra être prise en compte dès la conception des traitements.
Le responsable du traitement des données, véritable chef d’orchestre de la conformité au sein de l’entreprise, devra ainsi :

  • contrôler le respect du règlement et coopérer avec l’autorité de contrôle ;
  • mettre en place un registre des activités de traitement (inventaire des traitements de données mis en œuvre) ;
  • mettre en place un code de conduite sur le traitement des données personnelles au sein de l’entreprise ;
  • pour tout traitement pouvant engendrer un risque élevé pour les droits et libertés des personnes, réaliser une étude d’impact relative au traitement des données personnelles au sein de l’entreprise qu’il devra ensuite transmettre à la CNIL .

Le responsable du traitement veillera au respect des obligations mentionnées dans le RGPD et devra principalement s’assurer :

  • de l’obtention du libre consentement des utilisateurs (traduite par « une action positive ») ;
  • de l’information de leurs droits aux utilisateurs ;
  • de la réponse aux demandes formulées par les utilisateurs ;
  • de la notification dans les meilleurs délais aux autorités des éventuelles failles de sécurité observées (piratage par exemple).

Quels sont les risques encourus par les entreprises si elles ne respectent pas le contenu du RGPD ?
Les risques sont lourds et particulièrement dissuasifs : les amendes administrativespeuvent s’élever, selon l’infraction, jusqu’à 20 millions d’euros, ou, dans le cas d’une entreprise, de 2% jusqu’à 4% du chiffre d’affaires annuel mondial, le montant le plus élevé étant retenu.

Pour en savoir plusseparator-bsl-securite-agence-securite-idf

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Maintien et Actualisation des Compétences des agents de sécurité (MAC) : le feuilleton continue !

Le Maintien et l’Actualisation des Compétences des agents de sécurité est entrée en vigueur depuis le 1er janvier 2018. Tout agent de sûreté désirant renouveler sa carte professionnelle doit désormais présenter une attestation de formation en bonne et due forme. C’est une bonne nouvelle à long terme pour la profession car elle permettra à ses agents d’être encore mieux formés et donc plus performants. À court terme c’est un casse-tête pour les entreprises de sécurité puisque le financement de cette mesure n’a toujours pas été bouclé. 

Avec un coût économique de 20 à 30 m€ par an selon les hypothèses, et compte tenu de l’évolution inquiétante du marché de la sécurité dénoncée par les principales organisations patronales, le maintien et actualisation des compétences (MAC) risquait d’impacter négativement toute une profession en 2018.

Alain BAUER (président du collège du CNAPS) ne mâchait d’ailleurs pas ses mots dans une interview réalisée par l’agence d’informations spécialisées AEF en décembre dernier : il indiquait notamment que le financement du MAC n’était pas prêt et regrettait que ne soit pas mis en œuvre un fond de modernisation de la profession, emprunté sur les recettes du CNAPS largement bénéficiaires.

« Ce fonds aurait été extrêmement utile dans le cadre de l’entrée en vigueur du dispositif… Il aurait permis de mieux structurer, de mieux approfondir et de trouver des sources de financement. Cet argent existe, il est perçu. », martelait Alain Bauer.

Le régulateur n’ayant pas choisi cette voie, saluons la bonne marche du dialogue social de la branche sécurité. En effet, les partenaires sociaux sont parvenus en fin d’année dernière à une solution de financement à la hauteur des enjeux, par la signature unanime et collective d’un accord de branche relatif au financement des maintiens et actualisations des compétences.

Cet accord sécurise la mise en œuvre du dispositif MAC et entérine la création d’un fond conventionnel dédié à la formation. Ce fond sera alimenté par les entreprises de sécurité à hauteur de 0,15 % de leur masse salariale et l’OPCA de branche, de son coté, financera prioritairement ces formations.

Si l’on doit se réjouir qu’une solution ait été trouvée in extremis, il est nécessaire de souligner que ces 0,15 % auront un impact sur le prix des prestations de sécurité en 2018 et devront être pris en considération lors de prochaines revalorisations.

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GLOBAL SECURALLIANCE (GSA) : le premier réseau mondial de sécurité soigne son image sur le net

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Global Securalliance (GSA) se développe encore à l’internationale, après le GIE Securalliance France fondé entre autre par Patrick Senior, GSA regroupe désormais 22 entreprises implantées sur quatre continents (Europe, Amérique, Asie et Afrique). Elles mutualisent leurs forces et leurs compétences pour répondre à des appels d’offres internationaux.

GSA actif depuis mars 2017 présente déjà un CA de 760 M d’€ qui devrait encore se développer avec l’arrivée prochaine de nouvelles entreprises séduites par le projet. Cela méritait un site internet à la hauteur des enjeux afin de présenter les offres du groupe et son actualité. C’est désormais chose faite avec une interface au design séduisant et à la navigation fluide où l’anglais est de rigueur pour toucher un maximum de visiteurs. L’onglet « about us » permet notamment de prendre conscience en quelques chiffres du volume impressionnant d’activité que représente GSA.

Les entreprises à la recherche d’une offre de sécurité internationale ont désormais un point d’accès efficace sur le net pour découvrir et contacter une alternative aux mastodontes de la sécurité.

Il est temps de découvrir le site de GSA et de se plonger dans sa dimension internationale !

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Sylvain MOUSLER, nouveau Directeur commercial SECURALLIANCE France

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Securalliance France, 1 er GIE (Groupement d’Intérêt Économique) de 4 acteurs leaders et certifiés de sécurité privée, et qui se hisse aujourd’hui dans le top 10 des plus grandes entreprises de sécurité en France. Mais avant tout, Securalliance France c’est LA meilleure réponse globale et locale à tous les appels d’offre nationaux. Sylvain MOUSLER, nouveau Directeur Commercial de SECURALLIANCE, revient sur les dernières évolutions du groupement.

Sylvain MOUSLER, quel est votre parcours professionnel ? 
« Chef d’Entreprise pendant plus de 10 ans dans le domaine du service, avec pour clients de gros groupes industriels, j’ai décidé par la suite de réorienter ma carrière et je suis rentré chez Securitas, pendant 3 ans. Suite à cela, j’ai pris la direction régionale d’une société d’intérim, pour au final revenir à mon premier métier, la sécurité. Aussi en 2005 je rejoins ONET, pendant 12 ans où j’évolue de commercial à Directeur Commercial régional, puis national. Pour en arriver à 2017, où Securalliance France me propose un nouveau challenge. »

Quelle est votre vision du marché français de la sécurité ?
« Un marché composé de deux variantes clients. D’une part, ceux qui continuent à faire la course au prix en favorisant le candidat moins-disant, particulièrement dans les marchés publics. Des entreprises low-cost retenues uniquement sur un critère financier, incompatible avec l’évolution de la menace terroriste, qui nous impose une constante professionnalisation de notre activité. D’autre part, des clients parfaitement conscients que l’importance et les valeurs de la sécurité, passent avant un coût. Beaucoup plus exigeants en matière de qualité et de technicité, ils sont bien sûr le cœur de cible de Securalliance France.

Comment définiriez-vous en quelques mots le groupement Securalliance et les plus offerts à vos clients ?
« En trois mots : local, souple et réactif. Securalliance couvre l’ensemble du territoire, avec la proximité d’une PME. Une organisation pérenne et une solidité financière certifiée, qui nous permet de répondre et remporter des appels d’offre nationaux. Le compromis idéal, et certains grands Groupes l’ont bien compris, à l’instar de Mercedes, qui a démarré avec Securalliance il y a 3 ans pour ses sites de province, et vient de nous confier aujourd’hui la totalité de son marché national. Encore une référence prestigieuse et exigeante, à laquelle Securalliance apporte toute son expertise.

Vous positionnez vous sur des offres internationales ?
Oui, depuis 2016, Securalliance a rejoint Global Securalliance (GSA), le premier réseau mondial de sécurité privée totalisant 760 millions d’euros de CA et couvrant plusieurs pays dont l’Espagne, l’Italie, la Russie, l’Angleterre, l’Irlande, la Chine, la Suisse et bien d’autres. J’ai déjà fait suivre deux dossiers en l’espace de quelques mois qui sont en cours d’appel d’offre. Les entreprises concernées recherchent une structure internationale capable de répondre sur plusieurs pays. C’est une chance de pouvoir les rediriger vers Global Securalliance.

Agilité et innovation semblent être les maîtres-mots de Securalliance, pouvez-vous nous donner quelques exemples ?
« Deux innovations parmi tant d’autres :

  • La dématérialisation, sous forme de tablette interactive, des protocoles d’accès sur les sites industriels (conditions d’évacuation, points de rassemblement, numéros d’urgence etc.). Le système peut être multilingue, ce qui est bien utile dans le cas de chauffeurs routiers (infos accès camion) ou de visiteurs ne parlant pas le français.
  • L’utilisation de Trackforce qui est La solution de main courante dématérialisée (contrôleurs de ronde, rapports d’incidents etc.). Cet outil très performant nécessite des utilisateurs formés capables de le paramétrer de façon personnalisée en fonction des attentes du client (envois automatisés de rapports, envois de sms en cas d’évènements graves etc.).

L’utilisation de drones en intérieur est un axe de développement sur lequel nous travaillons. Ces solutions de vidéos automatisées permettront à nos agents d’avoir le don d’ubiquité, afin d’effectuer des levées de doute rapides en cas d’alarme. Ces technologies devraient rapidement devenir opérationnelles. »

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Marc Allouch : un juge au sein de BSL

Ce n’est pas tous les jours que l’on a la fierté d’annoncer une telle nouvelle ! Notre directeur juridique Marc Allouch, vient de prêter serment auprès du tribunal de commerce de Marseille le 9 novembre 2017.

Le tribunal de commerce de Marseille traite les contentieux en matière commerciale. Il est composé de 80 juges consulaires élus pour deux ans par leurs pairs parmi les commerçants et dirigeants de sociétés commerciales. Les juges consulaires sont des magistrats à part entière exerçant pleinement et de façon indépendante leur pouvoir judiciaire.

En plus de ses missions au sein de BSL, Marc Allouch interviendra désormais en qualité de juge au sein du tribunal de commerce de Marseille. Une lourde responsabilité qu’il accomplira avec toute la probité que nous lui connaissons.

Rappelons que les juges du tribunal de commerce remplissent un mandat bénévole. Ils ne perçoivent aucun salaire ni indemnité d’aucune sorte pour l’exercice de leurs fonctions.

L’audience solennelle qui officialisera la nomination de Marc Allouch en qualité de juge du tribunal de commerce de Marseille se tiendra le 18 janvier 2018. Nous aurons, c’est certain, une pensée émue pour notre collaborateur, dans ce moment important de sa carrière et nous saurons lui exprimer toute la fierté du groupe BSL de le compter parmi nous.

Pour en savoir plus.

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